21.8.10
le live, oui, et ça veut dire "vivant". par rien ça.
ne plus s'occuper de la poésie morte.
le scène, et la puissance phénoménale de la musique, associée à la portée fulgurante intime de la poésie.


29.7.10
faire ce que j'ai à faire.
continuer à tracer la ligne.
comme trait d'encre et de tchatche vers devant.

dans une poétique de pulsation.
une langue basale et sauvage.
épurée, maigre, acérée, tranchante.
dans une animalité de parole, bête de tchatche.

oui, passer, encore, à une autre dimension. ouvrir. largement. et encore plus. ouvrir encore. et plus grand encore et encore.

juste faire ce que j'ai à faire.
juste faire.
continuer à tracer la ligne sauvage.

il pleut soudain cette nuit.


23.7.10
oui il y a vraiment quelque chose là dans la parole portée.
avec le "par cœur", ce boulot intense, lancinant, de fond, je vais pouvoir ouvrir largement.
amplifier geste, présence, "animalité de scène" (animalerie de scène)


21.7.10
rien ces jours-ci en écriture, en parole
début du repos, nécessaire, tant attendu
off
pas loin d'être vidé

après book 0
quelque chose ou rien ?


20.7.10
je ne cherche pas à inscrire mon travail dans un milieu, mais dans quelque chose de plus large