écriture sans point ponctuation majuscules retours à la ligne c'est de l'écriture seule
c'est de l'écriture seule elle seule
brute
pas d'indication de lecture si ce n'est issue de la matière brute lisse seule de l'écriture seule
je crois que la ponctuation l'orthographe ne sont qu'annexes ne sont pas de l'écriture véritablement mais périphéries
l'écriture seule ainsi bloc c'est évidemment graphisme de telles lignes régulières tendues noires
(je suis d'ailleurs porté à croire que la qualité graphique de l'écriture, manuelle ou informatique, indique la qualité contenue)
pour la lecture tout vient donc de ce graphisme continu tout vient de la phrase ainsi déroulée (je n'ai pas d'attirance pour l'objet l'icone mot) tout vient de cette sorte de ligne continue onde à peine modulée à peine ondulée (les variations goldberg me semblent ainsi construites, je parle de cette mélodique très régulièrement "ondulée")
cela oblige à une précision diabolique tout le rythme le mélodique étant contenu dans la parol dans la ligne sans aucun soutien (périphérique) de ponctuation ou de typhographie
tout le relief est comme intérieur intrinsèque contenu
oui ce continuum là il me semble avancer vers cela de plus en plus radicalement
risque (2)
9 nov. 2005 22:49
Commentaires
étrange qu'un type à la perception du monde aussi complète que la tienne, en tout cas disposant de pans entiers de compréhension du monde dont moi je ne dispose pas, par ton expérience professionnelle notamment, tu ne souhaites pas ici contaminer l'une par l'autre : que serait la même page si elle n'était pas seulement pur miroir de l'écriture, mais dans le risque auquel contraint la nature la plus sauvage et immaîtrisable - ou autre...
FBcomme ici par exemple ?
fgwww.fgriot.net/txt/town_t...
ouais le pur miroir je sais
suite de la discussion ici :
fgwww.tumulte.net/atel/view...
ouais cette histoire de pur miroir écriture, périodes oscillant de la tentatives de purs récits, aux tentatives de creusement de l'histoire de la lang, où je ne raconte rien d'histoire, mais où pourtant il se raconte quelque chose toujours quand même, et souvent évidemment c'est l'histoire de cette écriture arrivant
fgSinon la nécessité d?utiliser l?observation des anomalies, on ajuste ensuite c?est tout. Discontinu à moins qu?il n?introduise une phrase se terminant sur une différence. L?ossature pas d?espace, ne pas terminer si vous voulez montrer quel est ce bruit qui répond à l?interrogation, virgule, un cercle évidé où la lecture s?arrête. Là encore un mot, la fin d?une phrase. Dans d?autres langues on a souvent de la difficulté à relever une règle reconnue, ce n?est pas facile à établir, c?est déroutant. Un blanc et on écrit le mot suivant : terminal rupture cut, virgules, le regard. Le recours au blanc marque le bon sens, procédez de même, dans le même esprit exubérant, comme la virgule, virgule, incluez un espace. Esp. à l?ext. n?est pas un luxe, on règle une lecture esthétique ou quelconque. Incluez des espaces, les mots ne sont pas forcément satisfaits, séparez les phrases comme si l?on ne savait pas d?espace avec de-ci de-là l?âme même. Faire un espace ne fait qu?empirer la langue, saccader c?est tout. En cours qui suit le recours rythmique, c?est séparer, n?insérez pas, qui définit la phrase. Un exemple en fin de phrase. On ne place pas d?espace l?espace mais du signe emplacement. Si c?est vide de sens, si seule une partie de phrase vous virgule, ça donne lieu à une pause et une idée (c?est arrivé dans des graphies douteuses) et on trouve ce qui manque. Bien écrire sert le rythme dans le rythme dans le poème des autres dans la phrase, exemple scindons pas de blanc par contre pas d?espace espace parenthèse à la fin (p. ex., virgule termine,)
Bartlebooth